vendredi 19 novembre 2010
Ecologie, économie et humanisme : la révolution de l'économie durable - Alain Weiller - 101mn - L'Université de la Terre - Unesco - 2008
L'Université de la Terre - "Réinventer le progrès" - Unesco - 2008
Animation : Alain Weiller, Journaliste
Ecologie, économie et humanisme : la révolution de l'économie durable - 101mn - 18 et 19 octobre 2008
Une vingtaine de débats dans les amphithéâtres de l’Unesco les 18 et 19 octobre 2008, sur le thème principal de : "Réinventer le progrès"
Découvertes scientifiques, avancées médicales et technologiques, le progrès constitue l’environnement de notre quotidien. Mais il ne nous a pas échappé que nous sommes en fin de phase industrielle, celle qui a porté l’occident depuis deux cents ans, avec ses progrès à outrance sans aucun coût collatéral à payer (l’empoisonnement et l’épuisement de la planète). Depuis quelques années, nous sommes conscients qu’il faut donner du sens au progrès, inventer un autre modèle de société.
Cette idée de lancer un "développement durable" est récent mais aussi novatrice : une économie durable peut créer une nouvelle prospérité. La révolution écologique peut créer de la richesse.
Si nous souhaitons réinventer le progrès, nous devons alors nous interroger sur les possibles limites de celui-ci, et redéfinir l’éthique qui doit régir nos organisations scientifiques, politiques et sociétales. Jusqu’alors, toute velléité de "mise au pas" du développement des connaissances a échoué sur les rivages de la conscience humaine… et de son irrépressible pulsion de transgression ! Quelques soient leurs intentions, les découvreurs semblent à jamais lancé dans une fuite en avant.
Réinventer le progrès consisterait peut-être, tout d’abord, à accepter le fait que toute invention est un élément du progrès. Ceci, afin d’éviter les débats stériles qui voient s’affronter partisans et opposants au progrès.
Réinventer le progrès n’est-ce pas surtout remettre l’Homme en son cœur ? Sous quelque forme que ce soit, le progrès naît de l’esprit humain pour s’inclure dans la vie de millions de femmes et d’hommes. Le progrès générant le progrès, le réinventer passera surtout par sa valorisation afin d’imaginer notre futur.
Les excès de l’industrialisation ont mis en évidence la nécessité de préserver les ressources de notre planète.
Si nous décidons de trouver un nouveau « modèle » au progrès, celui-ci doit alors tenir compte de la prise de conscience des peuples (plus ou moins forte), et tenter de se décliner dans tous les secteurs de la société : les sciences, certes, mais aussi l’entreprise, l’éducation, la consommation, les loisirs ou les relations sociales.
Et si réinventer le progrès consistait, avant tout, à assumer notre vie et notre citoyenneté dans un univers dont on perçoit un peu plus chaque jour, les injustices et la complexité ?
Bâtir une nouvelle société - Unesco, les 2 et 3 avril 2011 - Université de la terre
Une vingtaine de débats se tiendront dans les amphithéâtres de l’Unesco à l’occasion de la prochaine édition.
"Bâtir une nouvelle société" sera l'axe central de réflexion autour duquel s'organiseront les débats de cette Université de la Terre.
L’écologie fait de plus en plus partie de notre vie, le besoin de protéger notre environnement alimente les débats et suscite une inquiétude croissante, il est urgent de changer de rythme si nous voulons éviter une aggravation exponentielle de ces dangers.
Pour ces raisons, il nous semble plus que jamais nécessaire de "Bâtir une nouvelle société".
Bâtir une nouvelle société, c’est refonder la politique de l’environnement, placer les préoccupations de long terme et des générations futures au cœur du projet de notre société.
Bâtir une nouvelle société c’est permettre aux hommes de vivre dans la dignité, dans la solidarité et le partage.
Bâtir une nouvelle société, c’est inventer un nouveau mode de développement fondé sur les changements dans les modes de production et de consommation et cela dans tous les domaines : énergie, transport, logement, agriculture, santé…
Bâtir une nouvelle société, c’est instaurer une démocratie écologique, c'est-à-dire développer une nouvelle gouvernance, considérant que tous les citoyens sont concernés à la fois comme victimes et acteurs des crises environnementales.
Bâtir une nouvelle société, c’est travailler sur l’idée de réconciliation.
Réconciliation entre le pouvoir et les citoyens.
Réconciliation entre l’esprit d’entreprise et l’esprit de partage.
Réconciliation entre l’homme et la nature.
Enfin, bâtir une nouvelle société, c’est le retour à la rêverie, au temps long, à la fragilité, au doute, à l’humilité, au respect et à l’altruisme.
Source Université de la terre : Ecologie, économie et humanisme : la révolution de l'économie durable - Alain Weiller
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